”Parfois dans les parages de Blondie Redhead, du Velvet, de Deerhoof, régulièrement entraîné versant Sonic Youth ou The Ex, Pili Coït ne se réduit pas à ces références et génère sa propre esthétique […]. Le tout respire la passion, le désir, le délire, la saine folie et les imaginaires débordants.”

New Noise

 

« Chez Pili Coït, la base rock se prête à toutes les digressions dans des compositions à tiroirs ne cessant d’ouvrir et de refermer passages dérobés, étages intermédiaires, espaces insoupçonnés »

Rictus Info

 

« And now for something completely different… No seriously, this is something else. You better either sit down, or put on your stretchy pants, because this French combo will shake your rumpa, or at the very least your fundamental beliefs in music. »

Weirdo Shrine

 

« Immaginatevi dei God Is My Co-Pilot acustici filtrati attraverso la vecchia Duropa, una sensibilità aperta a raccogliere influenze molteplici ed a renderle uniche attraverso una nervosa danza tradizionale e moderna. Noi rimaniamo a bocca aperta ovviamente, come a ritrovarsi di fronte il topless che immaginiamo in copertina, imbambolati davanti a ritmo e duttilità, ad una voce che riesce a rendere intimo e viscerale qualsiasi movimento »

SODAPOP

 

pili frog

Pili Coït, Duo/Indie/Love/Grunge

Guilhem Meier, bruiteur fleuve et batteur pieuvre chez PoiL, PinioL, uKanDanZ et LFant + Jessica Martin Maresco, les cordes bien roulées aux quatre coins de langue chez Le Grand Sbam, Saddam Webcam, et tout dernièrement EZ3kiel.

Immersion dans un napalm corrosif et réconfortant. Ces deux aventuriers de l’underground velvetien nous invitent dans leur intimité, en proposant une musique épurée et riche, qui n’a de « Low-fi » que les contours… Probablement pour mieux dévoiler une superbe songwriting et une signature sonore éloquente, comme un défi écorché à la pesanteur. En quête de sincérité crue et de partage complet depuis 2014, ils vivent, écrivent, jouent, et sillonnent la vie ensemble. Les voilà de retour pour un deuxième opus, une deuxième offrande jetée aux quatre vents comme une obstination violente à résister à l’âpreté de la vie ; La montée fut obscure, l’effort piquant, les poumons suppliants l’imminence d’un jaillissement de sève mystérieuse et vulnéraire.

Depuis le sommet de cette colline sacrée, enfin, les deux Samouraïs offrent leur intimité et se donnent en pâture à l’infini du décor.
C’est comme si Jeff Buckley nous offrait la cérémonie du thé lors d’une incantation de Portishead. C’est comme un tête à tête entre Nina Haggen et Nick Drake au sommet d’une grande roue. Comme si Kurt Cobain était arrivé à vélo par la chine.

Armés d’un bidon, de guitares électriques, d’un synthé-drum, d’un tom basse, de pédales, et du mélange de deux leurs deux cris, ils sèment/s’aiment malgré eux, des remèdes à la lourde et immuable mécanique des choses.

Love Everywhere.

Jessica Martin Maresco  |  chant, tom basse, bidon, synthé-drum.
Guilhem Meier  |  chant, guitare.

pochette album love everywhere